01-01-2020:
On a appris que -le pauvre- Mr Ghosn s'était enfui du Japon avec l'aide d'un organisme spécialisé dans la sécurité et, dit-on à la limite des services secrets dont les pratiques sont l'apanage de ce type d'officines ...
Quatre questions qui se posent après la fuite de Carlos Ghosn au Liban<
"La folie des grandeurs, cet homme a pété un câble!"
Blog perso de Jacques Barthet
En collectant des infos, vidéos, photos, j'ai constaté que l'on retrouvait souvent, notre actuel président de la République, Emmanuel Macron, dans l'environnement de Mr Ghosn et je me suis souvenu que, alors qu'il était ministre et ou conseiller de l'ex président Hollande, il avait du participer aux négociations avec l'ex p.d.g. de Renault-Nissan-Mitsubishi...sur son salaire et plus.
Textes ci-dessous accompagnant les vidéos de Youtube:
Depuis son arrestation le 19 novembre 2018, le puissant patron de Renault-Nissan dort dans une prison japonaise.
Comment l’hyper-PDG a-t-il pu chuter aussi brutalement de son piédestal ? Carlos.... Gone !
Depuis son arrestation le 19 novembre 2018, le puissant patron de Renault-
Nissan dort sur un tatami dans une sinistre prison de la banlieue de Tokyo.
La justice japonaise a même prolongé sa détention à la suite d’une nouvelle inculpation.
Celui qui avait été élevé au rang de demi-dieu par tout un pays a passé Noël et le réveillon derrière les barreaux.
Le "tycoon" de l’automobile est à terre, mis en examen dans un premier temps pour "avoir omis de déclarer 38 millions d’euros de revenus".
Selon un rapport interne, il se serait aussi offert, via une filiale de Nissan, de luxueuses résidences au Brésil, en France et au Liban ainsi qu’un mariage costumé à Versailles…
Victime de son appétit pour l'argent ? "Complément d’enquête" sur l’étrange affaire Ghosn.
Comment l’hyper-PDG, le seul à diriger deux des cinq cents plus grandes entreprises du monde, a-t-il pu chuter aussi brutalement de son piédestal ? Est-il victime d’un coup monté, comme le clament ses soutiens ?
Ou de son appétit pour l’argent ? En 2016 déjà, contre l’avis de ses actionnaires, de l’Etat, et même du Medef, le patron le mieux payé de France s’était "auto-augmenté". Salaire annuel : près de 15 millions d’euros !
Une ascension vertigineuse De ses jeunes années chez les jésuites à Beyrouth jusqu'à l’épopée Nissan, en passant par l’affaire des faux espions de Renault, enquête sur une ascension vertigineuse, émaillée de critiques et de polémiques.
Ex-collaborateurs, anciens ministres mais aussi amis d’enfance nous racontent le "phénomène Ghosn".
Qui est vraiment le "French guru" qui a redressé Nissan d’un tour de main, héros d’un manga très populaire au Japon ?
Un manager impitoyable, obsédé par la rentabilité ? Un patron visionnaire ? "Le jour où on pense à partir, il faut bien choisir son moment et partir au sommet", disait-il en 2016. Raté.
Un document de Julien Daguerre, Rola Tarsissi et Xavier Gaillard. Invitée : Christine Kerdellant, directrice de la rédaction de l’Usine nouvelle.
Autre vidéo sur C.GHOSN.
Nouveau rebondissement dans l'affaire Carlos Ghosn. L'État français, principal actionnaire de Renault, a officiellement lâché le PDG du groupe automobile français mercredi 16 janvier et a demandé la nomination d’un successeur dans les prochains jours pour prendre la tête du constructeur automobile. Le conseil d’administration de Renault doit donc rapidement trouver un remplaçant à M. Ghosn.
Un choix qui pourrait être révélé dimanche 20 janvier, selon plusieurs médias. Inculpé pour abus de confiance et pour avoir minoré ses revenus dans plusieurs rapports boursiers du groupe Nissan entre les années 2015 et 2018, Carlos Ghosn va donc perdre son dernier titre -, Nissan et Mitsubishi l'ayant révoqué du poste de président du conseil d'administration dès la fin novembre.
Le 10 décembre dernier, Carlos Ghosn avait déjà été mis en examen pour avoir dissimulé une partie de ses revenus sur les cinq années précédentes. Parmi les dernières accusations révélées, Carlos Ghosn aurait reçu une rémunération de plus de sept millions d’euros en 2018 de la part d’une filiale
hollandaise détenue à égalité par Nissan et Mitsubishi (NMBV), et ce sans l’approbation des patrons de Nissan et Mitsubishi, rapporte Les Échos.
Mardi 15 janvier, le quotidien nous apprend que selon une lettre datée du 27 mars 2003 Carlos Ghosn payait des sommes fastueuses aux frais de Nissan pour ses dépenses personnelles ou celles de ses proches.
Adhésion à un yacht-club, travaux d’une luxueuse villa, il aurait largement contourné les règles de déontologie chez le constructeur japonais pour financer son train de vie.
L'avenir de Renault et de son alliance avec Nissan et Mitsubishi commence déjà à s'écrire sans Carlos Ghosn, qui vient de voir sa demande de libération rejetée en appel. Une alliance qui n’est « absolument pas en danger », a assuré Hiroto Saikawa, directeur général de Nissan, à l’AFP.
Il a néanmoins évoqué un possible rééquilibrage de l’alliance, dont les participations croisées datent de la création de l’union en 1999, alors que le constructeur japonais était au bord de la faillite.
Aujourd’hui dominant, Nissan détient seulement 15 % de Renault, sans avoir un droit de vote et 34 % de Mitsubishi Motors.
Le groupe français possède 43 % de son partenaire et aucune part de MMC.
« Dans l'immédiat, nous n'avons rien à changer, mais peut-être à l'avenir, pour les futurs dirigeants, il faudra s'interroger sur la pérennité du système actuel.
Nous devrions peut-être le revoir », a-t-il estimé. À l'instar de Carlos Ghosn, l'ancien dirigeant d'Alstom Frédéric Pierucci a été arrêté à la sortie de son
avion le 14 avril 2013 à New York par le FBI pour une affaire de corruption en Indonésie.
Un an plus tard, il apprend en prison la vente de son entreprise à l’américain General Electric.
Pour lui, il ne fait aucun doute que les deux affaires sont liées. Son livre, écrit avec le journaliste Matthieu Aron et publié le 16 janvier, raconte les coulisses de la guerre économique que les États-Unis livrent à l’Europe.
Il y dénonce notamment le « racket » mené par la justice américaine contre les entreprises européennes. « Depuis près de vingt ans, l'Europe s'est laissé rançonner », précise-t-il. Et d’ajouter que les entreprises françaises « ont déjà été ponctionnées de plus de treize milliards de dollars » par les amendes infligées par la justice américaine.
Quel avenir pour le constructeur automobile Renault ? Que peut-on attendre d’un possible rééquilibrage de l’alliance Renault - Nissan - Mitsubishi ? Qui remplacera Carlos Ghosn et quelles sera l’étendue de ses responsabilités ? Invités : Christophe Barbier – Éditorialiste à L’Express Dominique Seux – Directeur délégué de la rédaction des Échos Fanny Guinochet – Journaliste en charge des questions économiques et sociales à L’Opinion Isabelle Raymond – Journaliste au service économie de France-Info Retrouvez-nous sur : | Notre site : http://www.france5.fr/emissions/c-dan... | Facebook : https://www.facebook.com/Cdanslairf5/ | Twitter :
https://twitter.com/CdanslairF5 Pas un événement important qui ne soit évoqué, expliqué et analysé dans C dans l’air.
Tout au long de la semaine, les deux journalistes donnent les clés pour comprendre dans sa globalité un événement ou un sujet de première importance, en permettant aux téléspectateurs d'intervenir dans le débat ou de poser des questions par SMS ou Internet.
Caroline Roux est aux commandes de l'émission du lundi au jeudi et Bruce Toussaint prend le relais le vendredi et le samedi.
Diffusion : tous les jours de la semaine à 17 h 45
Rediffusion : tous les jours de la semaine à 22 h 30
Format : 65 minutes
Présentation : Bruce Toussaint, Caroline Roux et Axel Tarlé
Réalisation : Pascal Hendrick, Jean-François Verzele et Jacques Wehrlin
Production : France Télévisions/Maximal Productions