Vendredi 16 novembre 2018
La première ministre Britannique Theresa May, une femme courageuse s'il en est, joue gros après l'accord signé avec les vingt sept pays de la Communauté Européenne.
Le Royaume Uni resterait alors dans une union douanière avec l'Europe et cela permettrait de maintenir les relations qui ont été liées entre les deux Irlande, celle du Nord et celle du Sud cette dernière membre des 27.
Mais au sein du parti conservateur, les avis sont partagés et, si cet accord n'était pas validé, certains commencent à parler d'un deuxième référendum qui, selon les sondages donnerait 54% pour un maintien dans l'Union Européenne.
De quoi faire réfléchir les députés conservateurs pro-brexit.
Mme May serait prête, dit-on , à cette ultime option, qu'elle écartait il y a encore quelques semaines.
Sans accord du tout, les Britanniques ont tout à y perdre en tous cas, plus que l'U.E., que ça n'arrangerait pas vraiment...et la France encore moins compte tenu de la frontière maritime proche et des échanges économiques importants entre nos deux pays.
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Le député conservateur pro-Brexit Jacob Rees-Mogg a réclamé un vote de défiance contre la Première ministre britannique Theresa May, a annoncé jeudi un député de son groupe parlementaire, l'European Research Group (ERG).
"Rees-Mogg a écrit la lettre" en ce sens, a déclaré à la presse Simon Clark. Cette annonce intervient à la suite de la démission de plusieurs ministres du gouvernement de Mme May, mécontents du projet d'accord de Brexit qu'elle a conclu avec l'Union européenne. Theresa May, a averti jeudi les députés britanniques qu'ils avaient le choix entre le projet d'accord de divorce conclu avec l'Union européenne, pas d'accord ou «pas de Brexit du tout».